lundi 9 mars 2009

Mandat d'arrêt international contre un président





Il est désormais possible de destituer un président en exercice et de le juger pour crime de guerre, meurtre, déplacement de populations, détournement de fond ... C’est à dire que l’ont peu légitimement faire appel à la Cour pénale internationale pour toute plainte envers un dirigeant sanguinaire ou malhonnête !

Génial ! Je pense à d’autres aussi que ça pourrait intéresser !

C’est en même temps une excellente nouvelle, et à la fois, cela pose tout de même un grand nombre de questions.

Si cette procédure s’applique, elle soulève une grande problématique morale, tout mal qu’ai pu faire Monsieur El Béchir (qui à dire vrai mérite tout à fait son sort).

Il n’y a en effet jamais eu de précédents à une telle action internationale. Jamais, un président n’a été jugé pour crime contre l’humanité et destitue, jugé et certainement enfermé, par une cours d’appel inter-nationale (occidentale...) pendant l’exercice de ses fonctions.

Quand je pense à tonton Soros qui pousse les Soudanais à destituer leur propre président, ça en arrangerai un paquet dans les coulisses cette affaire la... Et pas seulement dans le Crisis Bizness... Euh, Crisis Group, pardon...

Tiens d'ailleurs en parlant de ça, intéressant ce Groupe, leur slogan : "Working to prevent conflict worldwide", sacré oncles Georges, toujours les bonnes idées au bon moment celui la...

Gardez l'esprit ouvert. a+

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire