vendredi 29 mai 2009

Que faisait B. Madoff le 11 septembre 2001?

Vous vous rappelez ou vous étiez lors que vous avez vu le premier avion se cracher sur le WTC ? Oui forcement ! Et bien regardez cette vidéo fascinante et lourde de sens de Amir Weitmann :



Il serait temps de réouvrir cette enquête !

En attendant, votons pour les listes et les partis qui abordent le sujet du 11 septembre en toute objectivité, ils ne sont pas nombreux à en parler ouvertement !

Je ne dis pas que c'est évident d'aborder un sujet qui touche au cœur de la politique américaine, mais c'est un point capital de stratégie géopolitique qui doit être transparent aux yeux du peuple, étant donné le prix à payer de toutes les lois répressives, à la base liée à cet événement !

Je comprend le poids des responsabilité et du déshonneur, mais il n'est rien comparé à l'emprisonnement des populations et la mort d'humains.

Le pulsar PSR B1509-58 photographié


La nébuleuse générée par le pulsar PSR B1509-58

Un petit et dense objet de seulement vingt kilomètres de diamètre est responsable de cette belle nébuleuse de rayons X qui s'étend sur 150 années-lumière. Au centre de cette image produite par l'observatoire spatial en rayons X Chandra de la NASA se trouve un pulsar très jeune et puissant, connu sous le nom de PSR B1509-58, ou B1509 en abrégé. Le pulsar est une étoile à neutrons en rotation rapide qui rejette de l'énergie dans l'espace autour de lui et crée ainsi des structures complexes et fascinantes, dont une qui ressemble à une grande main cosmique.

Dans cette image, les rayons X de plus basse énergie que Chandra détecte sont en rouge, la gamme moyenne est en vert, et les plus énergétiques sont colorés en bleu. Les astronomes pensent que B1509 est âgé d'environ 1700 ans et est situé à environ 17000 années-lumière de nous.

Les étoiles à neutrons sont créées quand les étoiles massives sont à court de carburant et s'effondrent. Le pulsar B1509 effectue 7 rotations sur lui-même par seconde et libère de l'énergie dans son environnement à un rythme prodigieux, vraisemblablement parce qu'il a un champ magnétique intense à sa surface, estimé pour être 15 000 milliards de fois plus fort que le champ magnétique terrestre.

La combinaison de la rotation rapide et du champ magnétique ultra fort fait de B1509 un des générateurs électromagnétiques les plus puissants dans la galaxie. Ce générateur conduit un vent énergétique d'électrons et d'ions s'échappant de l'étoile à neutrons. Pendant que les électrons se déplacent à travers la nébuleuse magnétisée, ils rayonnent et créent la nébuleuse élaborée vue par Chandra.

Dans les régions les plus intérieures, un faible cercle entoure le pulsar, et marque l'endroit où le vent est rapidement ralenti par la nébuleuse s'étendant lentement. De cette façon, B1509 partage quelques similitudes remarquables avec la célèbre nébuleuse du Crabe. Cependant, la nébuleuse de B1509 est 15 fois plus large que le diamètre de 10 années-lumière de la nébuleuse du Crabe.

Les structures en forme de doigts se prolongent vers le haut, activant apparemment des noeuds de matériel dans un nuage voisin de gaz connu sous le nom de RCW 89. Le transfert d'énergie du vent à ces noeuds les rend lumineux dans les rayons X (les dispositifs orange et rouge vers le haut à droite).

Source: NASA & Gilbert Javaux - PGJ Astronomie
Illustration: NASA/CXC/CfA/P. Slane et al.
* Auteur : Gilbert Javaux - PGJ - http://pagesperso-orange.fr/pgj/ *
Vu sur http://www.newsoftomorrow.org/ et http://www.techno-science.net.

jeudi 28 mai 2009

Julien Coupat libéré



Et bien voilà, 1 jours après avoir posté la lettre de Julien Coupat sur mon blog, la justice à décider de libéré Julien Coupat, et oui, à la tribune libre, nous avons les dents longues !!

Bien entendu je plaisante, mais il est clair que la sortie de l'article du Monde à certainement précipité la libération de JC. Et c'est une bonne chose ! Maintenant il va falloir rendre des comptes Madame Alliot-Marie ! Et dans un premiers temps démissionner suite à cette LOURDE FAUTE IMPARDONNABLE.

Je rappel que l'ont attend toujours la démission également dans une autre affaire de Mme Albanel, suite aux nombreuses collusions avec TF1 et notamment les parties fines saupoudrée de cocaïne. Ahh ont se marre bien au gouvernement, je me rappel de cette phrase de Mme Dati a l'époque sur France 24 "ont va sortir obèse de la chancellerie", y en à qui s'éclatent bien n'empêche.

Voici un article trouvé sur l'express :

Après la remise en liberté de Julien Coupat, soupçonné de sabotages contre les lignes TGV, l'opposition exige des explications sur l'affaire. Le socialiste Arnaud Montebourg réclame la démission de Michèle Alliot-Marie.

"Vide du dossier", "fiasco judiciaire": la gauche a fustigé le gouvernement dans l'affaire Julien Coupat, libéré jeudi, le socialiste Arnaud Montebourg demandant la démission de la ministre de l'Intérieur et les Verts une commission d'enquête parlementaire.


AFP PHOTO / ERIC FEFERBERG
La minsitre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie, à l'Elysée le 8 avril 2009.


Alors que Nicolas Sarkozy a, à dix jours des Européennes, consacré un long discours à l'insécurité, gauche et Verts ont multiplié les dénonciations de "dérives".

"Sept mois de prison infligés à un innocent pour faire monter une sauce politicienne au goût infect, dans n'importe quel pays démocratique, cela vaut une démission", a lancé le député Montebourg, à propos du cerveau présumé d'un groupe soupçonné de sabotages de lignes TGV.

Pointant une "manipulation" et une "justice d'exception", le Verts Noël Mamère a annoncé la demande imminente d'une commission d'enquête parlementaire. L'affaire, à ses yeux, montre "le vrai visage du sarkozysme".

L'altermondialiste José Bové, tête de liste Europe-Ecologie, accuse également Mme Alliot-Marie d'"une sorte de coup médiatique organisé" pour "essayer de construire une espèce de complot de l'ultragauche".

La riposte du porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre, a fusé: "instrumentaliser ce qui n'est qu'une étape de l'instruction pour faire croire à l'innocence de Coupat est totalement irresponsable, d'autant que cela n'est fait qu'à des fins électoralistes".

André Vallini, député socialiste et ancien président de la commission Outreau, pressent que "la justice, et le pouvoir qui a tenté de l'instrumentaliser, s'acheminent ensemble vers un fiasco politico-judiciaire".

Présidente du groupe communiste et Parti de gauche au Sénat, Nicole Borvo Cohen-Seat juge également que cette +affaire+ tourne au véritable fiasco".

Bernadette Bourzai, sénatrice PS de Corrèze, où est situé Tarnac, village de Julien Coupat, évoque "le vide du dossier". Deux affaires coexistent à ses yeux: "celle du sabotage des lignes de TGV, sur laquelle la justice aura à se prononcer", et "celle de la longue détention d'un citoyen sous une qualification sans rapport avec le contenu du dossier et de la stigmatisation d'une région".

En mode mineur, l'ex-juge d'instruction Eva Joly, candidate d'Europe-Ecologie aux européennes, conclut, de cette libération, "que les charges ne doivent pas être très lourdes".

Le PS, lui, demande des éclaircissements. "Il faudra bien que le gouvernement s'explique sur les raisons d'un tel acharnement à faire de l'antiterrorisme le prétexte à toutes les dérives, jusqu'à ranger les opinions d'un individu au rang de délit", écrit Pouria Amirashi, secrétaire national aux droits de l'homme.

"Julien Coupat est-il coupable ou le gouvernement a-t-il fait preuve de légèreté, voire de manipulation?", s'interroge ce parti.


Source : l'express.

Aller tous, ensemble pour MAM, et les autres :

HALTE LA LES GUIGNOLS ! ASSUMEZ VOS CONNERIES ----------> DEHORS ! ! !

Orange condamné pour insulte raciale.



Le tribunal de police a aujourd'hui condamné Orange et son directeur de la clientèle à 500 euros d'amende et 8 000 euros de dommages-intérêts, non pour leur Livebox défectueuse, mais pour avoir attribué à un de leurs abonné un mot de passe qualifié par le ministère public de « blessant, insultant et même diffamatoire ».

Confronté à des problèmes de connexion en décembre 2007, Mohamed Zaid avait contacté le service après vente du fournisseur d'accès à plusieurs reprises, sans « jamais s'énerver ». Par le biais d'un email, il s'était alors vu attribuer « salearabe » en guise de nouveau mot de passe. « Cela a été un énorme choc, » avait-il confié à l'AFP après avoir immédiatement porté plainte, ajoutant qu'il trouvait ça « plutôt choquant de la part d'une entreprise comme celle-ci ».

L'opérateur avait tenté de régler discrètement l'affaire à l'amiable, en proposant à M. Zaid la modique somme de 80 euros en plus de 3 mois d'abonnement gratuit. Orange, qui reconnait désormais la faute et estime la condamnation normale, a indiqué à France 3 avoir modifié pour l'occasion le processus d'attribution de mot de passe. Toujours d'après la chaine, « l'auteur des propos racistes n'a jamais pu être identifié ».


Source : neteco.com

Et ce sont ces "gens" la qui sont sensée surveiller les utilisateurs contre le piratage d'après la loi HADOPI/LOPSI ?

Bon sang ça me fait sortir me mes gonds moi. De qui se moque ton !

Du rouge, du blanc et du rosé



http://europeenne2009.com Les vidéos qui marquent la campagne européenne.

Georges Brassens - Quand ont est con



Toujours aussi intemporel, de la véritable musique quantique si je puis dire, merci Georges !

mercredi 27 mai 2009

mardi 26 mai 2009

Julien Coupat



Voici les réponses aux questions que nous avons posées par écrit à Julien Coupat. Mis en examen le 15 novembre 2008 pour "terrorisme" avec huit autres personnes interpellées à Tarnac (Corrèze) et Paris, il est soupçonné d'avoir saboté des caténaires SNCF. Il est le dernier à être toujours incarcéré. (Il a demandé à ce que certains mots soient en italique).

Comment vivez-vous votre détention ?

Très bien merci. Tractions, course à pied, lecture.

Pouvez-nous nous rappeler les circonstances de votre arrestation ?



Une bande de jeunes cagoulés et armés jusqu'aux dents s'est introduite chez nous par effraction. Ils nous ont menacés, menottés, et emmenés non sans avoir préalablement tout fracassé. Ils nous ont enlevés à bord de puissants bolides roulant à plus de 170 km/h en moyenne sur les autoroutes. Dans leurs conversations, revenait souvent un certain M. Marion [ancien patron de la police antiterroriste] dont les exploits virils les amusaient beaucoup comme celui consistant à gifler dans la bonne humeur un de ses collègues au beau milieu d'un pot de départ. Ils nous ont séquestrés pendant quatre jours dans une de leurs "prisons du peuple" en nous assommant de questions où l'absurde le disputait à l'obscène.

Celui qui semblait être le cerveau de l'opération s'excusait vaguement de tout ce cirque expliquant que c'était de la faute des "services", là-haut, où s'agitaient toutes sortes de gens qui nous en voulaient beaucoup. A ce jour, mes ravisseurs courent toujours. Certains faits divers récents attesteraient même qu'ils continuent de sévir en toute impunité.



Les sabotages sur les caténaires SNCF en France ont été revendiqués en Allemagne. Qu'en dites-vous?

Au moment de notre arrestation, la police française est déjà en possession du communiqué qui revendique, outre les sabotages qu'elle voudrait nous attribuer, d'autres attaques survenues simultanément en Allemagne. Ce tract présente de nombreux inconvénients : il est posté depuis Hanovre, rédigé en allemand et envoyé à des journaux d'outre-Rhin exclusivement, mais surtout il ne cadre pas avec la fable médiatique sur notre compte, celle du petit noyau de fanatiques portant l'attaque au cœur de l'Etat en accrochant trois bouts de fer sur des caténaires. On aura, dès lors, bien soin de ne pas trop mentionner ce communiqué, ni dans la procédure, ni dans le mensonge public.

Il est vrai que le sabotage des lignes de train y perd beaucoup de son aura de mystère : il s'agissait simplement de protester contre le transport vers l'Allemagne par voie ferroviaire de déchets nucléaires ultraradioactifs et de dénoncer au passage la grande arnaque de "la crise". Le communiqué se conclut par un très SNCF "nous remercions les voyageurs des trains concernés de leur compréhension". Quel tact, tout de même, chez ces "terroristes"!


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Vous reconnaissez-vous dans les qualifications de "mouvance anarcho-autonome" et d'"ultragauche"?

Laissez-moi reprendre d'un peu haut. Nous vivons actuellement, en France, la fin d'une période de gel historique dont l'acte fondateur fut l'accord passé entre gaullistes et staliniens en 1945 pour désarmer le peuple sous prétexte d'"éviter une guerre civile". Les termes de ce pacte pourraient se formuler ainsi pour faire vite : tandis que la droite renonçait à ses accents ouvertement fascistes, la gauche abandonnait entre soi toute perspective sérieuse de révolution. L'avantage dont joue et jouit, depuis quatre ans, la clique sarkozyste, est d'avoir pris l'initiative, unilatéralement, de rompre ce pacte en renouant "sans complexe" avec les classiques de la réaction pure – sur les fous, la religion, l'Occident, l'Afrique, le travail, l'histoire de France, ou l'identité nationale.

Face à ce pouvoir en guerre qui ose penser stratégiquement et partager le monde en amis, ennemis et quantités négligeables, la gauche reste tétanisée. Elle est trop lâche, trop compromise, et pour tout dire, trop discréditée pour opposer la moindre résistance à un pouvoir qu'elle n'ose pas, elle, traiter en ennemi et qui lui ravit un à un les plus malins d'entre ses éléments. Quant à l'extrême gauche à-la-Besancenot, quels que soient ses scores électoraux, et même sortie de l'état groupusculaire où elle végète depuis toujours, elle n'a pas de perspective plus désirable à offrir que la grisaille soviétique à peine retouchée sur Photoshop. Son destin est de décevoir.

Dans la sphère de la représentation politique, le pouvoir en place n'a donc rien à craindre, de personne. Et ce ne sont certainement pas les bureaucraties syndicales, plus vendues que jamais, qui vont l'importuner, elles qui depuis deux ans dansent avec le gouvernement un ballet si obscène. Dans ces conditions, la seule force qui soit à même de faire pièce au gang sarkozyste, son seul ennemi réel dans ce pays, c'est la rue, la rue et ses vieux penchants révolutionnaires. Elle seule, en fait, dans les émeutes qui ont suivi le second tour du rituel plébiscitaire de mai 2007, a su se hisser un instant à la hauteur de la situation. Elle seule, aux Antilles ou dans les récentes occupations d'entreprises ou de facs, a su faire entendre une autre parole.

Cette analyse sommaire du théâtre des opérations a dû s'imposer assez tôt puisque les renseignements généraux faisaient paraître dès juin 2007, sous la plume de journalistes aux ordres (et notamment dans Le Monde) les premiers articles dévoilant le terrible péril que feraient peser sur toute vie sociale les "anarcho-autonomes". On leur prêtait, pour commencer, l'organisation des émeutes spontanées, qui ont, dans tant de villes, salué le "triomphe électoral" du nouveau président.

Avec cette fable des "anarcho-autonomes", on a dessiné le profil de la menace auquel la ministre de l'intérieur s'est docilement employée, d'arrestations ciblées en rafles médiatiques, à donner un peu de chair et quelques visages. Quand on ne parvient plus à contenir ce qui déborde, on peut encore lui assigner une case et l'y incarcérer. Or celle de "casseur" où se croisent désormais pêle-mêle les ouvriers de Clairoix, les gamins de cités, les étudiants bloqueurs et les manifestants des contre-sommets, certes toujours efficace dans la gestion courante de la pacification sociale, permet de criminaliser des actes, non des existences. Et il est bien dans l'intention du nouveau pouvoir de s'attaquer à l'ennemi, en tant que tel, sans attendre qu'il s'exprime. Telle est la vocation des nouvelles catégories de la répression.

Il importe peu, finalement, qu'il ne se trouve personne en France pour se reconnaître "anarcho-autonome" ni que l'ultra-gauche soit un courant politique qui eut son heure de gloire dans les années 1920 et qui n'a, par la suite, jamais produit autre chose que d'inoffensifs volumes de marxologie. Au reste, la récente fortune du terme "ultragauche" qui a permis à certains journalistes pressés de cataloguer sans coup férir les émeutiers grecs de décembre dernier doit beaucoup au fait que nul ne sache ce que fut l'ultragauche, ni même qu'elle ait jamais existé.

A ce point, et en prévision des débordements qui ne peuvent que se systématiser face aux provocations d'une oligarchie mondiale et française aux abois, l'utilité policière de ces catégories ne devrait bientôt plus souffrir de débats. On ne saurait prédire, cependant, lequel d'"anarcho-autonome" ou d'"ultragauche" emportera finalement les faveurs du Spectacle, afin de reléguer dans l'inexplicable une révolte que tout justifie.

La police vous considère comme le chef d'un groupe sur le point de basculer dans le terrorisme. Qu'en pensez-vous?

Une si pathétique allégation ne peut être le fait que d'un régime sur le point de basculer dans le néant.

Que signifie pour vous le mot terrorisme?

Rien ne permet d'expliquer que le département du renseignement et de la sécurité algérien suspecté d'avoir orchestré, au su de la DST, la vague d'attentats de 1995 ne soit pas classé parmi les organisations terroristes internationales. Rien ne permet d'expliquer non plus la soudaine transmutation du "terroriste" en héros à la Libération, en partenaire fréquentable pour les accords d'Evian, en policier irakien ou en "taliban modéré" de nos jours, au gré des derniers revirements de la doctrine stratégique américaine.


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Rien, sinon la souveraineté. Est souverain, en ce monde, qui désigne le terroriste. Qui refuse d'avoir part à cette souveraineté se gardera bien de répondre à votre question. Qui en convoitera quelques miettes s'exécutera avec promptitude. Qui n'étouffe pas de mauvaise foi trouvera un peu instructif le cas de ces deux ex – "terroristes" devenus l'un premier ministre d'Israël, l'autre président de l'Autorité palestinienne, et ayant tous deux reçus, pour comble, le Prix Nobel de la paix.

Le flou qui entoure la qualification de "terrorisme", l'impossibilité manifeste de le définir ne tiennent pas à quelque provisoire lacune de la législation française : ils sont au principe de cette chose que l'on peut, elle, très bien définir : l'antiterrorisme dont ils forment plutôt la condition de fonctionnement. L'antiterrorisme est une technique de gouvernement qui plonge ses racines dans le vieil art de la contre-insurrection, de la guerre dite "psychologique", pour rester poli.

L'antiterrorisme, contrairement à ce que voudrait insinuer le terme, n'est pas un moyen de lutter contre le terrorisme, c'est la méthode par quoi l'on produit, positivement, l'ennemi politique en tant que terroriste. Il s'agit, par tout un luxe de provocations, d'infiltrations, de surveillance, d'intimidation et de propagande, par toute une science de la manipulation médiatique, de l'"action psychologique", de la fabrication de preuves et de crimes, par la fusion aussi du policier et du judiciaire, d'anéantir la "menace subversive" en associant, au sein de la population, l'ennemi intérieur, l'ennemi politique à l'affect de la terreur.

L'essentiel, dans la guerre moderne, est cette "bataille des cœurs et des esprits" où tous les coups sont permis. Le procédé élémentaire, ici, est invariable : individuer l'ennemi afin de le couper du peuple et de la raison commune, l'exposer sous les atours du monstre, le diffamer, l'humilier publiquement, inciter les plus vils à l'accabler de leurs crachats, les encourager à la haine. "La loi doit être utilisée comme simplement une autre arme dans l'arsenal du gouvernement et dans ce cas ne représente rien de plus qu'une couverture de propagande pour se débarrasser de membres indésirables du public. Pour la meilleure efficacité, il conviendra que les activités des services judiciaires soient liées à l'effort de guerre de la façon la plus discrète possible", conseillait déjà, en 1971, le brigadier Frank Kitson [ancien général de l'armée britannique, théoricien de la guerre contre-insurrectionelle], qui en savait quelque chose.

Une fois n'est pas coutume, dans notre cas, l'antiterrorisme a fait un four. On n'est pas prêt, en France, à se laisser terroriser par nous. La prolongation de ma détention pour une durée "raisonnable" est une petite vengeance bien compréhensible au vu des moyens mobilisés, et de la profondeur de l'échec; comme est compréhensible l'acharnement un peu mesquin des "services", depuis le 11 novembre, à nous prêter par voie de presse les méfaits les plus fantasques, ou à filocher le moindre de nos camarades. Combien cette logique de représailles a d'emprise sur l'institution policière, et sur le petit cœur des juges, voilà ce qu'auront eu le mérite de révéler, ces derniers temps, les arrestations cadencées des "proches de Julien Coupat".

Il faut dire que certains jouent, dans cette affaire, un pan entier de leur lamentable carrière, comme Alain Bauer [criminologue], d'autres le lancement de leurs nouveaux services, comme le pauvre M. Squarcini [directeur central du renseignement intérieur], d'autres encore la crédibilité qu'ils n'ont jamais eue et qu'ils n'auront jamais, comme Michèle Alliot-Marie.

Vous êtes issu d'un milieu très aisé qui aurait pu vous orienter dans une autre direction…

"Il y a de la plèbe dans toutes les classes" (Hegel).

Pourquoi Tarnac?

Allez-y, vous comprendrez. Si vous ne comprenez pas, nul ne pourra vous l'expliquer, je le crains.

Vous définissez-vous comme un intellectuel? Un philosophe ?

La philosophie naît comme deuil bavard de la sagesse originaire. Platon entend déjà la parole d'Héraclite comme échappée d'un monde révolu. A l'heure de l'intellectualité diffuse, on ne voit pas ce qui pourrait spécifier "l'intellectuel", sinon l'étendue du fossé qui sépare, chez lui, la faculté de penser de l'aptitude à vivre. Tristes titres, en vérité, que cela. Mais, pour qui, au juste, faudrait-il se définir?

Etes-vous l'auteur du livre L'insurrection qui vient ?

C'est l'aspect le plus formidable de cette procédure : un livre versé intégralement au dossier d'instruction, des interrogatoires où l'on essaie de vous faire dire que vous vivez comme il est écrit dans L'insurrection qui vient, que vous manifestez comme le préconise L'insurrection qui vient, que vous sabotez des lignes de train pour commémorer le coup d'Etat bolchevique d'octobre 1917, puisqu'il est mentionné dans L'insurrection qui vient, un éditeur convoqué par les services antiterroristes.

De mémoire française, il ne s'était pas vu depuis bien longtemps que le pouvoir prenne peur à cause d'un livre. On avait plutôt coutume de considérer que, tant que les gauchistes étaient occupés à écrire, au moins ils ne faisaient pas la révolution. Les temps changent, assurément. Le sérieux historique revient.

Ce qui fonde l'accusation de terrorisme, nous concernant, c'est le soupçon de la coïncidence d'une pensée et d'une vie; ce qui fait l'association de malfaiteurs, c'est le soupçon que cette coïncidence ne serait pas laissée à l'héroïsme individuel, mais serait l'objet d'une attention commune. Négativement, cela signifie que l'on ne suspecte aucun de ceux qui signent de leur nom tant de farouches critiques du système en place de mettre en pratique la moindre de leurs fermes résolutions; l'injure est de taille. Malheureusement, je ne suis pas l'auteur de L'insurrection qui vient – et toute cette affaire devrait plutôt achever de nous convaincre du caractère essentiellement policier de la fonction auteur.

J'en suis, en revanche, un lecteur. Le relisant, pas plus tard que la semaine dernière, j'ai mieux compris la hargne hystérique que l'on met, en haut lieu, à en pourchasser les auteurs présumés. Le scandale de ce livre, c'est que tout ce qui y figure est rigoureusement, catastrophiquement vrai, et ne cesse de s'avérer chaque jour un peu plus. Car ce qui s'avère, sous les dehors d'une "crise économique", d'un "effondrement de la confiance", d'un "rejet massif des classes dirigeantes", c'est bien la fin d'une civilisation, l'implosion d'un paradigme : celui du gouvernement, qui réglait tout en Occident – le rapport des êtres à eux-mêmes non moins que l'ordre politique, la religion ou l'organisation des entreprises. Il y a, à tous les échelons du présent, une gigantesque perte de maîtrise à quoi aucun maraboutage policier n'offrira de remède.

Ce n'est pas en nous transperçant de peines de prison, de surveillance tatillonne, de contrôles judiciaires, et d'interdictions de communiquer au motif que nous serions les auteurs de ce constat lucide, que l'on fera s'évanouir ce qui est constaté. Le propre des vérités est d'échapper, à peine énoncées, à ceux qui les formulent. Gouvernants, il ne vous aura servi de rien de nous assigner en justice, tout au contraire.

Vous lisez "Surveiller et punir" de Michel Foucault. Cette analyse vous paraît-elle encore pertinente?

La prison est bien le sale petit secret de la société française, la clé, et non la marge des rapports sociaux les plus présentables. Ce qui se concentre ici en un tout compact, ce n'est pas un tas de barbares ensauvagés comme on se plaît à le faire croire, mais bien l'ensemble des disciplines qui trament, au-dehors, l'existence dite "normale". Surveillants, cantine, parties de foot dans la cour, emploi du temps, divisions, camaraderie, baston, laideur des architectures : il faut avoir séjourné en prison pour prendre la pleine mesure de ce que l'école, l'innocente école de la République, contient, par exemple, de carcéral.


Prison de Fresne

Envisagée sous cet angle imprenable, ce n'est pas la prison qui serait un repaire pour les ratés de la société, mais la société présente qui fait l'effet d'une prison ratée. La même organisation de la séparation, la même administration de la misère par le shit, la télé, le sport, et le porno règne partout ailleurs avec certes moins de méthode. Pour finir, ces hauts murs ne dérobent aux regards que cette vérité d'une banalité explosive : ce sont des vies et des âmes en tout point semblables qui se traînent de part et d'autre des barbelés et à cause d'eux.

Si l'on traque avec tant d'avidité les témoignages "de l'intérieur" qui exposeraient enfin les secrets que la prison recèle, c'est pour mieux occulter le secret qu'elle est : celui de votre servitude, à vous qui êtes réputés libres tandis que sa menace pèse invisiblement sur chacun de vos gestes.

Toute l'indignation vertueuse qui entoure la noirceur des geôles françaises et leurs suicides à répétition, toute la grossière contre-propagande de l'administration pénitentiaire qui met en scène pour les caméras des matons dévoués au bien-être du détenu et des directeurs de tôle soucieux du "sens de la peine", bref : tout ce débat sur l'horreur de l'incarcération et la nécessaire humanisation de la détention est vieux comme la prison. Il fait même partie de son efficace, permettant de combiner la terreur qu'elle doit inspirer avec son hypocrite statut de châtiment "civilisé". Le petit système d'espionnage, d'humiliation et de ravage que l'Etat français dispose plus fanatiquement qu'aucun autre en Europe autour du détenu n'est même pas scandaleux. L'Etat le paie chaque jour au centuple dans ses banlieues, et ce n'est de toute évidence qu'un début : la vengeance est l'hygiène de la plèbe.

Mais la plus remarquable imposture du système judiciaro-pénitentiaire consiste certainement à prétendre qu'il serait là pour punir les criminels quand il ne fait que gérer les illégalismes. N'importe quel patron – et pas seulement celui de Total –, n'importe quel président de conseil général – et pas seulement celui des Hauts-de-Seine–, n'importe quel flic sait ce qu'il faut d'illégalismes pour exercer correctement son métier. Le chaos des lois est tel, de nos jours, que l'on fait bien de ne pas trop chercher à les faire respecter et les stups, eux aussi, font bien de seulement réguler le trafic, et non de le réprimer, ce qui serait socialement et politiquement suicidaire.

Le partage ne passe donc pas, comme le voudrait la fiction judiciaire, entre le légal et l'illégal, entre les innocents et les criminels, mais entre les criminels que l'on juge opportun de poursuivre et ceux qu'on laisse en paix comme le requiert la police générale de la société. La race des innocents est éteinte depuis longtemps, et la peine n'est pas à ce à quoi vous condamne la justice : la peine, c'est la justice elle-même, il n'est donc pas question pour mes camarades et moi de "clamer notre innocence", ainsi que la presse s'est rituellement laissée aller à l'écrire, mais de mettre en déroute l'hasardeuse offensive politique que constitue toute cette infecte procédure. Voilà quelques-unes des conclusions auxquelles l'esprit est porté à relire Surveiller et punir depuis la Santé. On ne saurait trop suggérer, au vu de ce que les Foucaliens font, depuis vingt ans, des travaux de Foucault, de les expédier en pension, quelque temps, par ici.

Comment analysez-vous ce qui vous arrive?

Détrompez-vous : ce qui nous arrive, à mes camarades et à moi, vous arrive aussi bien. C'est d'ailleurs, ici, la première mystification du pouvoir : neuf personnes seraient poursuivies dans le cadre d'une procédure judiciaire "d'association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste", et devraient se sentir particulièrement concernées par cette grave accusation. Mais il n'y a pas d'"affaire de Tarnac" pas plus que d'"affaire Coupat", ou d'"affaire Hazan" [éditeur de L'insurrection qui vient]. Ce qu'il y a, c'est une oligarchie vacillante sous tous rapports, et qui devient féroce comme tout pouvoir devient féroce lorsqu'il se sent réellement menacé. Le Prince n'a plus d'autre soutien que la peur qu'il inspire quand sa vue n'excite plus dans le peuple que la haine et le mépris.

Ce qu'il y a, c'est, devant nous, une bifurcation, à la fois historique et métaphysique: soit nous passons d'un paradigme de gouvernement à un paradigme de l'habiter au prix d'une révolte cruelle mais bouleversante, soit nous laissons s'instaurer, à l'échelle planétaire, ce désastre climatisé où coexistent, sous la férule d'une gestion "décomplexée", une élite impériale de citoyens et des masses plébéiennes tenues en marge de tout. Il y a donc, bel et bien, une guerre, une guerre entre les bénéficiaires de la catastrophe et ceux qui se font de la vie une idée moins squelettique. Il ne s'est jamais vu qu'une classe dominante se suicide de bon cœur.

La révolte a des conditions, elle n'a pas de cause. Combien faut-il de ministères de l'Identité nationale, de licenciements à la mode Continental, de rafles de sans-papiers ou d'opposants politiques, de gamins bousillés par la police dans les banlieues, ou de ministres menaçant de priver de diplôme ceux qui osent encore occuper leur fac, pour décider qu'un tel régime, même installé par un plébiscite aux apparences démocratiques, n'a aucun titre à exister et mérite seulement d'être mis à bas ? C'est une affaire de sensibilité.

La servitude est l'intolérable qui peut être infiniment tolérée. Parce que c'est une affaire de sensibilité et que cette sensibilité-là est immédiatement politique (non en ce qu'elle se demande "pour qui vais-je voter ?", mais "mon existence est-elle compatible avec cela ?"), c'est pour le pouvoir une question d'anesthésie à quoi il répond par l'administration de doses sans cesse plus massives de divertissement, de peur et de bêtise. Et là où l'anesthésie n'opère plus, cet ordre qui a réuni contre lui toutes les raisons de se révolter tente de nous en dissuader par une petite terreur ajustée.

Nous ne sommes, mes camarades et moi, qu'une variable de cet ajustement-là. On nous suspecte comme tant d'autres, comme tant de "jeunes", comme tant de "bandes", de nous désolidariser d'un monde qui s'effondre. Sur ce seul point, on ne ment pas. Heureusement, le ramassis d'escrocs, d'imposteurs, d'industriels, de financiers et de filles, toute cette cour de Mazarin sous neuroleptiques, de Louis Napoléon en version Disney, de Fouché du dimanche qui pour l'heure tient le pays, manque du plus élémentaire sens dialectique. Chaque pas qu'ils font vers le contrôle de tout les rapproche de leur perte. Chaque nouvelle "victoire" dont ils se flattent répand un peu plus vastement le désir de les voir à leur tour vaincus. Chaque manœuvre par quoi ils se figurent conforter leur pouvoir achève de le rendre haïssable. En d'autres termes : la situation est excellente. Ce n'est pas le moment de perdre courage.

Propos recueillis par Isabelle Mandraud et Caroline Monnot

Article publié dans Le Monde le 25/05/09

Nigel Farage IND/DEM



Il y a encore des représentants Européens honnêtes !

Enfin une pierre dans l'eau...

Le groupe Indépendance/Démocratie (IND/DEM) a été créé au Parlement européen le 20 juillet 2004 pour réunir des partis eurosceptiques ou euroréalistes. Il était connu auparavant sous le nom de groupe Europe des Démocraties et des Diversités (EDD) et il dispose actuellement de 23 députés.

Wikipedia Groupe Indépendance/Démocratie

samedi 23 mai 2009

Décryptage : Sarkozy et son oeuvre de contrôle du net

Numerama
Guillaume Champeau - publié le Mercredi 20 Mai 2009 à 09h08

"Le président de la République actuel a un plan". C'est la première phrase du livre de François Bayrou, Abus de Pouvoir, et l'on peut la vérifier au moins en ce qui concerne le contrôle du net. Depuis la loi DADVSI où il était président de l'UMP et ministre de l'intérieur, Nicolas Sarkozy a déployé son plan pour contrôler le net. Il a commencé à l'appliquer avant-même la loi Hadopi, et prévoit de le parachever avec la Loppsi. Dans cet article exceptionnellement long, Numerama tente un décryptage du net selon Sarkozy.

Petit à petit, les pièces du puzzle s'assemblent et l'image se révèle sous nos yeux. Le projet de loi Création et Internet n'a pas encore été promulgué que déjà le morceau suivant s'apprête à faire son apparition. Projet de loi après projet de loi, décret après décret, nomination après nomination, Nicolas Sarkozy prépare méthodiquement les moyens pour le gouvernement de contrôler Internet... et les internautes.

Lundi, Le Monde a publié un excellent article sur la prochaine loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure (Loppsi, ou Lopsi 2),
qui montre ce que prévoit le nouveau texte commandé par Nicolas Sarkozy : installation de mouchards électroniques sans vérification de leur légalité par les services de l'Etat, légalisation des chevaux de Troie comme mode d'écoute à distance, création d'un super-fichier "Périclès" regroupant de nombreuses données personnelles (numéros de carte grise, permis de conduire, numéros IMEI des téléphones mobiles, factures...), création d'un délit d'usurpation d'identité, pouvoir de géolocaliser les internautes, ...

Sans cesse repoussée, la loi est attendue de pieds fermes par Nicolas Sarkozy. C'est d'ailleurs en partie elle qui a justifié l'obsession du Président à maintenir contre vents et marée la loi Hadopi. Car "le président de la République actuel a un plan". Pour le comprendre, il nous faut accumuler les pièces à conviction. Certaines relèvent très certainement de la paranoïa, d'autres sont véritablement réfléchies par le Président.

Mises bout à bout, elles laissent peu de doute sur la volonté de Nicolas Sarkozy de contrôler le net, aussi bien dans son contenu que dans son infrastructure.

Au commencement, Nicolas Sarkozy voulu devenir Président

Très tôt dans sa carrière politique, Nicolas Sarkozy n'a eu qu'une obsession : devenir président de la République. Et une vision : pour y parvenir, il fallait contrôler les médias. Maire de Neuilly-Sur-Seine, il s'efforce de faire entrer rapidement dans son cercle d'amis proches les Martin Bouygues, Lagardère (père et fils) et autres Dassault qui le conduiront par leur amitié complice au sommet du pouvoir. C'est d'autant plus facile que ces capitaines d'industrie, propriétaires de médias, dépendent pour l'essentiel de leurs revenus des commandes de l'Etat. Entre amis, on sait se rendre des services...

Toute cette énergie de réseautage a été mise au service de son ambition présidentielle. En 2007, c'était la bonne. Première tentative, première victoire. Mais Nicolas Sarkozy a eu chaud. Il avait négligé Internet. A quelques points près, François Bayrou - qui a au contraire beaucoup misé sur Internet pendant la campagne - passait devant Ségolène Royal au premier tour de la Présidentielle, et c'est le leader du MoDem qui se serait retrouvé à l'Elysée.

Il serait faux toutefois de prétendre que Nicolas Sarkozy, qui s'était assuré le soutien du bloggeur Loïc Le Meur (à l'époque le plus influent), s'est aperçu trop tard du pouvoir du net. Fraîchement élu, le président Sarkozy n'avait pas tardé à demander "l'avènement d'un internet civilisé" , prônant une "campagne de civilisation des
nouveaux réseaux". Le coup de Trafalgar du refus de la Constitution européenne par les Français avait montré pour la première fois au monde politique les limites des médias traditionnels face à Internet, où l'opposition au texte européen fut virulente. Les amis de Nicolas Sarkozy dans les grands médias et l'industrie culturelle l'ont très vite convaincu qu'il fallait faire quelque chose. Lui pour conserver le pouvoir, eux pour limiter cette concurrence gênante. C'est Renaud Donnedieu de Vabres (RDDV) qui s'est chargé des basses oeuvres, sous l'oeil attentif de son président de l'UMP et ministre de l'intérieur de l'époque, Nicolas Sarkozy.

DADVSI et HADOPI : les premières pierres vers le filtrage

Derrière les apparences d'une première loi contre le piratage sur Internet, comme l'avait prédit le journaliste américain Dan Gillmor, c'est une alliance à trois qui s'est formée entre le pouvoir politique, le pouvoir médiatique et l'industrie culturelle. A peine la riposte graduée (déjà) adoptée, RDDV avait prévenu que la loi DADVSI "n'est que le premier d'une longue série d'adaptations de notre droit à l'ère numérique", et qu'il comptait bien s'attaquer "un jour au problème de la presse et de l'Internet". C'était en 2006.

Affaibli par la débâcle de DADVSI, le ministre de la Culture n'a pas eu le temps de mettre son projet en application. Mais l'idée d'accorder un label à la presse professionnelle en ligne et de doter les sites de presse d'un statut particulier opposé aux blogs était née. Nicolas Sarkozy l'a mise en application cette année. Le tout en permettant à la vieille presse papier de bénéficier par ailleurs de substantielles aides de l'Etat, contraires à la libre concurrence, pour investir le net.

Avec la loi Hadopi, qu'il a maintenu jusqu'à mettre en péril la cohésion du groupe UMP, le chef de l'Etat a réussi à imposer à tous les foyers français l'installation d'un "logiciel de sécurisation", qui, sous la forme d'un mouchard, aura pour but de filtrer les sites internet et certains logiciels. Soit de manière franche, en bloquant l'accès à des contenus ou des protocoles. Soit de manière plus sournoise, en mettant
en place un système qui met en avant les sites labellisés par l'Hadopi ou par les ministères compétents, pour mieux discréditer les autres. Les sites de presse professionnels feront bien sûr partis un jour des sites labellisés, tandis que la multitude de blogs ou de sites édités par des journalistes non professionnels verront leur crédibilité mise en doute. Pour le moment on ne sait rien du périmètre des caractéristiques imposées par l'Etat aux logiciels de sécurisation, et c'est bien là sujet d'inquiétudes. Il suffira d'étendre par décret la liste des fonctionnalités exigées pour que la censure se fasse de plus en plus large et précise, hors du contrôle du législateur ou du juge.

LOPPSI : le filtrage imposé aux FAI

Si elle prévoit la création de ce logiciel de sécurisation, et suggère fortement son installation, la loi Hadopi ne fait cependant pas de son installation une obligation. Le risque d'inconstitutionnalité serait trop fort. Il faut donc compléter le tableau, en organisant un filtrage au niveau de l'infrastructure du réseau. C'est le rôle de la loi Loppsi, chapeautée par Michèle Alliot-Marie.

Entre autres choses, la Loppsi va imposer aux FAI une obligation de filtrage de résultat. Ils auront le devoir de bloquer l'accès à des sites dont la liste sera déterminée par l'administration, sous le secret. Ce qui n'est pas sans poser d'énormes problèmes dans les quelques pays qui ont déjà mis en place cette idée. Là aussi, une fois mis le pied dans la porte, sous prétexte de lutter contre la pédophilie (une tentation du pathos contre laquelle il faut résister), il suffira d'étendre la liste des exceptions qui donnent droit au filtrage. Ici pour les maisons de disques victimes de piratage, là pour les sites de presse suspectés de diffamation, ou pour les sites de jeux d'argent qui ne payent pas leurs impôts en France. La liste n'aura de limites que l'imagination et l'audace des gouvernants.

Encore faut-il que ces idées de contrôle du net puissent se mettre en place sur le terrain, ce qui nécessite des hommes et des femmes peu regardants. C'est dans cet art que Nicolas Sarkozy excelle le plus.

Le choix des hommes, le triomphe des idées

Dès 2006, Nicolas Sarkozy a compris qu'il aura besoin de verrouiller son gouvernement et les télécoms pour mettre en place son plan de contrôle d'internet. Christine Boutin, qui avait été une farouche et convaincante opposante à la loi DADVSI fin 2005 (au point de faire basculer le vote de certains députés UMP pour la licence globale), et qui avait défendu l'idée d'un internet libre, s'est ensuite mue dans un silence confondant à la reprise des débats en mars 2006. En échange, et entre temps, elle a reçu la promesse de Nicolas Sarkozy d'entrer au gouvernement après les élections présidentielles si elle mettait sa langue dans sa poche. Les deux ont tenu parole.

Président de la République, Nicolas Sarkozy a ainsi composé son gouvernement de manière à accomplir son oeuvre sans opposition interne. Nadine Morano à la Famille, et Michèle Alliot-Marie à l'Intérieur, n'ont pas eu besoin de forcer leur nature pour prêcher la censure de certains sites Internet ou le filtrage des sites
pédophiles ou terroristes. Porte-parole de l'UMP, pilotée par l'Elysée, le lobbyiste Frédéric Lefebvre ne passe plus une semaine sans se confondre en invectives contre Internet, et réclamer le filtrage.

En plaçant l'ex-socialiste Eric Besson au numérique, Sarkozy pensait peut-être aussi paralyser les critiques à la fois de son propre camp et de l'opposition, tout en s'assurant le soutien d'un homme qui a troqué ses convictions pour son ambition. En le remplaçant par Nathalie Kosciusko-Morizet, plus rebelle, Sarkozy a pris un risque. Mais il fait aussi un pari. Celui que son frère Pierre Kosciusko-Morizet, président des deux plus gros lobbys français du numérique hostiles au filtrage, serait moins audible dans son opposition si sa soeur est systématiquement suspectée de collusion lorsqu'elle défend le même point de vue. Ce qui n'a pas manqué lorsque PKM a prêché, dans le vide, un moratoire sur la loi Hadopi.

Il a fallu aussi convaincre dans les télécoms. Free, à la nature frondeuse, reste le plus difficile à manipuler pour Nicolas Sarkozy. Il a toutefois trouvé une arme : la quatrième licence 3G. L'opérateur sait qu'elle va être rapidement indispensable pour continuer à concurrencer Bouygues,
SFR et Orange, qui peuvent tous proposer des offres regroupant ADSL et mobile. Mais elle est dépendante de la volonté du gouvernement. Très rapidement, Christine Albanel a fait comprendre à Free qu'il devrait être obéissant pour espérer accéder à la fameuse licence. Depuis, le dossier ne cesse d'être repoussé sous des prétextes fumeux, et Free a mis de l'eau dans son vin contre Hadopi et contre le filtrage, dans l'espoir de ne pas hypothéquer ses chances d'avoir accès à la téléphonie mobile.

Pis, Nicolas Sarkozy a fait nommer numéro deux de France Telecom Stéphane Richard, le directeur de cabinet de Christine Lagarde, qui ne compte "que des amis" dans la commission qui déterminera le prix de la quatrième licence 3G. L'homme aura également pour mission de mettre en oeuvre le filtrage chez Orange, qu'il dirigera d'ici deux ans.

Le contrôle des institutions ayant leur mot à dire sur le filtrage

Enfin, Nicolas Sarkozy s'est également assuré de contrôler les institutions qui pourraient lui faire de l'ombre. La CNIL, qui s'est opposée à l'Hadopi, n'aura pas le droit de siéger au sein de la haute autorité. Les amendements le proposant ont été refusés. Elle n'a pas non plus eu le droit de publier son avis contre la loi Hadopi, et les deux députés commissaires de la CNIL, tous les deux membres de l'UMP, ont voté pour la loi. L'un des deux, Philippe Gosselin, a même été un farouche défenseur de la loi à l'Assemblée, et sans doute au sein de l'institution. Dans son dernier rapport annuel, la CNIL a dénoncé l'omerta imposée par le gouvernement, et son manque d'indépendance, notamment financière.

Plus directement, Nicolas Sarkozy a également évincé l'autorité de régulation des télécommunications (Arcep) des études sur le filtrage, auquel elle était hostile. Redoutant que l'autorité ne reste trop à l'écoute des professionnels des télécoms et des internautes, le président de la République a récemment mis à la tête de l'Arcep
Jean-Ludovic Silicani, l'ancien président du Conseil de la propriété littéraire et artistique (CSPLA). Un homme notoirement favorable au filtrage et à la lutte contre le P2P. Le CSPLA, rattaché au ministère de la Culture, compte par ailleurs parmi ses membres le Professeur Sirenelli, à qui le gouvernement confie quasiment toutes les missions juridiques liées au filtrage depuis quatre ans, avec un résultat certain.

Finalement, c'est au niveau européen que Nicolas Sarkozy compte ses plus forts adversaires. Il a entamé un bras de fer avec le Parlement Européen sur l'amendement Bono, et exerce un lobbying intense sur les Etats membres pour qu'ils refusent de marquer dans le marbre le principe du respect de la neutralité du net, contraire au filtrage. Il peut compter sur le soutien de Silvio Berlusconi, propriétaire de médias, qui met en place exactement le même plan en Italie. Mais il redoute l'opposition des députés européens.

D'où l'importance des élections européennes du 7 juin prochain. De leur résultat dépendera peut-être la réussite ou l'échec du plan mis en place par Nicolas Sarkozy.

Article trouvé sur : http://pouvoiretpsychopathie.hautefort.com

Source : Numerama

Autre lien indispensable : http://www.loppsi.fr/

Bilderberg 2009 - Communiqué de presse

Le communiqué officiel que le Groupe de Bilderberg a envoyé par fax à quelques journalistes choisis... et que certains on refaxé à des personnes moins choisies :-)
(Texte original en anglais)

Bilderberg Meetings
P.O. Box 3017
2301 DA LEINDEN
The Netherlands
Date: 19 mai 2009

COMMUNIQUÉ DE PRESSE BILDERBERG MEETINGS
17 mai 2009

Le 57è Bilderberg Meeting se tiendra à Vouliagmeni, en Grèce, du 14 au 17 mai 2009. La conférence traitera principalement de la crise financière, des gouvernements et du marché, du rôle des institutions, des économies de marché et des démocraties, de l'Irak et de l'Afghanistan, des Etats-Unis et du monde, du cyber-terrorisme, des nouveaux impérialismes, du protectionisme, et des défis post-Kyoto. Environ 130 participants sont

David Rockefeller, grand banquier, fondateur de la Chase Manhattan Bank, co fondateur du Groupe de Bilderberg, fondateur du CFR et de la Commission trilatérale
attendus dont les deux tiers viennent d'Europe et les autres d'Amérique du Nord. Environ un tiers d'entre eux viennent de la politique et des gouvernements, et les deux tiers viennent de la finance, de l'industrie, des services, de l'éducation et des communications. Le meeting est privé afin d'encourager les discussions franches et ouvertes.

Le Bilderberg tient son nom de l'hôtel en Hollande où s'est tenu le premier meeting, en mai 1954. Ce meeting pionnier pris forme autour de la préoccupation exprimée par des citoyens leaders des deux cotés de l'Atlantique, alors que l'Europe de l'Ouest et l'Amérique du Nord travaillaient ensemble aussi étroitement que possible sur les problèmes communs d'importance critique. Il fut ressenti que des discussions régulières et "off the record" pourraient aider à une meilleure compréhension des forces complexes et des tendances majeures affectant les nations occidentales dans la difficile période de l'après-guerre.

La Guerre Froide est maintenant terminée. Mais à presque tous les égards, il y a davantage, pas moins, de problèmes communs - du commerce à l'emploi, de la politique monétaire à l'investissement, des défis écologiques à la tâche de promouvoir la sécurité internationale. Il est difficile de penser à n'importe quelle question aussi bien en Europe qu'en Amérique du Nord pour lesquelles des solutions multilatérales n'auraient pas (...) [ligne manquante sur le fax]

Ce qui est unique à propos du Bilderberg en tant que forum est le large éventail de citoyens leaders qui sont rassemblés pour environ trois jours de discussions informelles et "off the record" à propos de thèmes liés aux préoccupations présentes, en particulier dans le domaine des affaires étrangères et de l'économie internationale. Le sentiment fort parmi les participants qu'au vu des différentes attitudes et expériences des nations occidentales, il demeure un besoin clair de développer encore plus loin une compréhension qui intègre ces préoccupations. Le caractère privé du meeting n'a pas d'autre propos que de permettre aux participants de parler librement et avec l'esprit ouvert.

En résumé, Le Bilderberg est un forum international petit, flexible, informel et "off the record" dans lequel différents points de vue peuvent être exprimées et la compréhension mutuelle améliorée.

La seule activité du Bilderberg est cette Conférence annuelle. Durant le meeting, aucune conclusion n'est atteinte, aucune recommandation n'est faite, et aucune déclaration politique n'est formulée. Les noms des participants sont rendus disponibles à la presse. Les participants sont choisis en fonction de leur expérience, leur connaissance, et leur statut; tous les participants assistent au Bilderberg dans un cadre privé et non officiel.


Source de l'article blog.syti.net Bilderberg 2009 - Communiqué officiel

Autre article intéressant avec la liste des participants 2009, et un diagramme en toile d'araignée avec les differentes interactions et rencontre possibles que peuvent alors envisager les convives lors de ces petites réunions.

Bilderberg 2009 - Liste des participants





Souvenir souvenir ... Sacré Devedjan ... Quel acteur ...

vendredi 22 mai 2009

Newropeans 2009









http://www.newropeans2009.com/France/

Exigeons, la vérité sur le SIDA



Pour ceux et celles qui veulent connaitre les origines du sida, je vous conseil cette vidéo, à regarder à TÊTE REPOSÉE, pas comme moi un lundi soir avant d'aller me coucher...

A savoir, l'utilisation de milliers de singes macaques opéré vivant pour retirer leur foie afin de crée le vaccin anti polio de l'époque.

Les scientifiques se livrait alors à une guerre intestine, de celui qui réussira le meilleur vaccin le plus rapidement possible afin de traiter les patiens occidentaux dans les meilleurs conditions.

Ils ont donc utilisé également du chimpanzé, qui possédait chez certains sujets, une dégénérescence virale appelée VIS, ou syndrome immunodeficient du singe infectai déjà de nombreux primates. Et bien entendu, des populations dociles et convaincue.

Cette maladie était connue à l'époque, mais les réactions chimique liée au conditions de développement du virus de la polio dans les cellules de foie extraites des chimpanzé vivants réagissait très bien au test, voir même mieux que chez les autres races de singes. Et la contagion de ce virus du singe à l'homme était encore méconnue.

Ils ont alors massacré des centaines de chimpanzé (ce qu'ils réfutent aujourd'hui malgré les preuves), et ils ont participé à la mutation du virus VIS en VIH, en essayant de crée le nouveau vaccin anti polio le plus rapidement possible et sans prendre toutes les précautions et sans aucunes rigueurs sanitaire, à la manières des savants fous.

Ils ont donc embauché des habitants locaux pour leurs servir d'infirmier et les chefs Africains de promoteurs aux yeux du peuple, ils ont utilisé les Pigmés pour chasser les nombreux chimpanzé afin d'en extraire le foie vivant et en jetant les singes encore vivant dans leur tombe, par centaines de milliers, et tout cela pour "la bonne cause".
Les africains ont forcement aider les yeux fermé les "Occidentaux" bienfaiteurs qui venait les aidés.

Quelques semaines plus tard, les premiers cas déclaré de VIH apparaissent dans la région ou les vaccinations ont été effectuée.

Le reportage ne dit pas qu'ils ont inventé le sida, ils ont vraisemblablement par leur maladresse et leur hâte, provoqué une mutation du virus VIS du singe en virus humain, simplement en effectuant un test grandeur nature sur des populations qui ne viendront pas se plaindre, ont connait la suite.

Aujourd'hui, les autorités scientifiques refusent d'ouvrir le débat sur les véritables origines de ce virus, qui vient tout simplement pour moi, de cette course folle qui régnait dans le domaine scientifique à l'époque, aux protocoles expérimentaux qui manquai lourdement de rigueur, et qui ont imposer un vaccin non officiel sur les populations en leurs mentant sur l'efficacité et surtout la fiabilité du produit injecté.

Ces chercheurs ont menti sur la fiabilité du produit, et ont clairement profité de la situation pour faire des tests grandeur nature sur des populations dociles.

Résultat, des millions de personnes infectées partout dans le monde, des millions de morts, des milliers de singes torturé, jusqu'à aujourd'hui, l'apparition d'un nouveau virus, H1N1, qui provient des oiseaux, du cochon ... etc etc etc

Il serait temps que les grands "organismes internationaux", ici je parle du "lobby pharmaceutique" et autres groupement mondiaux scientifiques, assume leur responsabilisées en matière de transparence sur ce genre de dossiers.

Si erreur il y a eu, elle doit être connue des populations, de quelque manière que ce soit, avec le temps que cela doit prendre, mais il n'est pas acceptable de faire un black out sur ce sujet qui est un fléo de notre temps, et qui ne doit pas se reproduire !

Je demande également la même transparence concernant les sociétés biologiques qui se disputent le marché au Mexique en ce moment, d'apporter toute les informations nécessaire et l'accès total des dossiers et des informations aux peuple Français, Européen et mondial sur le dossier H1N1 et autres grippes tueuses.

Car les banquiers, commerçants et gouvernements qui gèrent actuellement cet état de crise mondiale tant biologique, guerrière que financière, ne me paraissent pas être les personnes les plus responsables aux yeux de l'humanité toute entière pour avoir envie de leur confier ma vie, celle de mes proches et le sort de toute l'humanité.

mercredi 20 mai 2009

NPA - Besancenot in action





no comment.

Le chainon manquant?



Un article que je viens de découvrir, en page d'accueil de google depuis ce matin (cliquez sur l'image marron).

Vous trouverez toutes sortes d'articles notamment :

"MISSING LINK" PHOTOS: New Fossil Links Humans, Lemurs?
Qui est l'article original, voici la réponse de la presse Française sur cet article :

Missing link found ? Le chaînon manquant peut-être découvert, la presse anglophone s'emballe.

En tout cas ce sujet brulant est franchement intriguant, certains parlent même d'homme réptiliens, mais il semblerai plus que cela soit une sorte de lémurien géant...

samedi 16 mai 2009

Les crieurs du Front de Gauche

Sondage IFMOP



Dernier sondage IFMOP pour Paris Foot, France Sondage et Le mouvement des sondeurs rebelles :

Front de Gauche : 26%
Autres partis alternatifs : 22%
Modem : 20%
NPA : 14%
Alliance Ecologie : 5 %
Lutte Ouvrière : 5%
FN : 5%
PS : 2 %
UMP : environs 1 %

N'hésitez pas à promouvoir vos faux sondages partout ou vous le pouvez histoire de bien ridiculiser le concept.

vendredi 15 mai 2009

Elisabeth Levy VS Dieudonné


Dieudonné sur fluctuat.net


Dieudonné sur fluctuat.net


Dieudonné sur fluctuat.net


Dieudonné sur fluctuat.net

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Je trouve que globalement sur cette vidéo, Élisabeth Levy est bien plus juste dans ses propos que Dieudonné.

Je comprend mieux certaines choses notamment depuis la diffusion de la vidéo de campagne de la liste anti-sioniste par Dieudonné, Soral et Gouasmi.

Ce dernier justement me semble bien être la clef de la lente dérive idéologique de l'ami Dieudo ces dernières années...

J'appréciai beaucoup Dieudonné pour ses prises de positions et la réflexion qui était la sienne au début, et encore plus depuis son boycott et le spectacle "mes excuses", car son discours à l'époque était plutôt comique et de bon niveau, mais je trouve que son message est devenu de moins en moins consistant jusqu'à aujourd'hui ou j'ai vraiment du mal à le suivre...

J'apprécie également Soral pour toutes les réflexions intelligentes qu'il à pu nous transmettre depuis de nombreuses années, un avis toujours pertinent et subversif, parfois border-line mais qui à le mérite d'être franc, culotté et très instructif.

Mais de ces deux la, j'ai un peu déchanté lorsqu'ils se sont rapproché du FN.
Encore une fois, dans leur "logique de rassemblement", j'ai pensé que leur technique était honnête et constructive sur le fond, mais la forme commençait à moins me plaire. Je n'aime pas particulièrement les idées d'extrêmes droites.

Mais je pense que ce qui a tout de même enfoncé le clou, ce sont les paroles et le programme de M Gouasmi, un homme qui sort de nul part et qui est visiblement un ami proche et influent de Dieudonné...

Ce qui explique peut être le manque de réparti qu'il à eu dans cette confrontation avec Élisabeth Levy visible pour ceux qui ont un avis objectif, parce que si M. Gouasmi est le maitre à penser de Dieudo, je ne vois pas comment il pourrai répondre honnêtement aux questions posées par Mme Levy.
Je ne connaissais pas E. Levy avant d'avoir vu cette vidéo et que je n'ai donc aucuns apriori sur elle, malgré les quelques phrases déplacées qu'elle a pu employé comme "vous êtes antisémite", bon c'est un peu facile et pas franchement fin, mais je trouve qu'elle pose ensuite des questions plutôt pertinentes et justes, et je suis déçu des pirouettes de Dieudo sur des questions qui visiblement l'embarrasse...

Traiter Dieudonné d'antisémite il y a encore 1 ans m'aurait paru déplacé, aujourd'hui, leur liste "anti sioniste" et l'arrivée de M Gouasmi ne m'enchante pas du tout, et malgré les désaccords radicaux que je pourrai avoir avec le sionisme et notamment les exactions d'Israël sur Gaza, je ne fait pas de la lutte "anti sioniste" la seule responsable de la misère du monde, même si ils ont leur lot de saloperie et que j'ai beaucoup à leur reprocher également.

Je suis pour combattre les idées extremes quelles qu'elles soit, et d'ailleurs, je ne conçois même pas l'idée qu'il existe en Israël des partis d'extrêmes droites, c'est une aberration qui est malheureusement tout à fait représentative de la dérive idéologique entreprise par Israël depuis 60 ans, mais pas que Israël d'ailleurs.

Einstein en avait déjà parlé sur la lettre qu'il envoya au New York Times en 1948, et je suis contre cet état d'Israël tel qu'il a été imposé aux palestiniens par force et fracas.

Il y aurai du et il doit y avoir un consensus pour que les peuples puissent vivre en paix et circuler librement au moyen orient, il faut que les mentalités changes, et que les peuples et les gouvernements communiquent honnêtement dans une logique de paix, et pas comme l'ont fait les parlementaires à Durban avec en tête le président du CRIF.

Cependant ce n'est pas l'unique combat qu'il faut avoir, la corruption des gouvernements africains dont parle Dieudo est aussi un combat, mais ce n'est pas les sionistes qui torturent le peuple africain, se sont les dirigeants corrompu Africains eux même !

Je pense que le problème est complexe, et doit être débattu par concertation franche avec des personnalités stable idéologiquement, je pense que l'influence de Gouasmi sur Dieudonné est flagrante, et que Soral me déçois de s'être fait embarqué la dedans, sans parler du niveau des autres co-listier qui n'est pas franchement rassurante, soit enragé, soit qui ont rien à dire, et 2 ou 3 qui sortent du lot, rien de bien constructif et spectaculaire tel qu'annonce au départ ...

Et puis se programme : "Mettre une quenelle au sionisme". oué.

Pour ma part je pense que l'humanité entre dans une période bien sombre de son histoire, et qu'elle va devoir affronter bien plus que le sionisme pour s'en relever définitivement, ne serais-ce que de se comprendre soit même à travers le regard de l'autre.

Je pense que cette liste est dangereuse surtout à cause de personnages comme Gousmi, mais je pense qu'elle a tout à fait le droit d'être présentée, cependant en tant qu'ancien admirateur de Dieudonné et de Soral, je dois dire que je regrette leur choix de s'être associé à M Gouasmi, qui est visiblement un peu fébrile quand à ses argumentations, et au final, malgré mon fort esprit de rébellion face à l'actuelle gouvernance mondiale et notamment à la mise en place de leur Nouvel Ordre Mondial Orwellien, j'ai peur que cette liste ne décrédibilise finalement certaines idées et certains combats bien plus réels, crédibles et vérifiables qui ne se résume pas uniquement par le sionisme.

Pour faire un parallèle, c'est comme de dire que les Nazi sont les seuls ordures de la 2nd guerre... Les collabos, et tout les humains qui ont profité de ces événements pour s'enrichir, ou faire des tests d'armements militaires nucléaires ne sont pas eux également des pauvres merdes?

L'humanité traine un foutu tas de dossiers derrière elle, et je ne sais pas comment tout cela va bien finir, mais un jour c'est certain, les gens comprendrons que c'est nous tous ensemble qui sommes dans l'erreur de croire que le problème vient d'ailleurs, le problème vient de nous tous, tant par nos actions que par nos inactions !

Et si l'ont en voie qui profite de leurs semblable et propage la haine, la guerre et la division, autant intellectuelle que physique, combattons les, c'est même notre devoir au nom d'une humanité respectueuse d'elle même!

Tout en étant en désaccord avec la politique sioniste, je trouve qu'il est très réducteur de prononcer des phrases comme "derrière chaque divorces il y a un sioniste", il est certain que cela a une connotation simpliste et pas franchement consensuelle,.

Je dirais tout de même que l'intérêt pour moi de voter pour cette liste serai de permettre à Alain Soral de devenir député Européen car ses idées mérites d'être débattues. Pour Gouasmi et Dieudonné je ne pense pas que leur présence à Bruxelles améliorera la situation de qui que ce soit.

PS : Et ça me fait chier de devoir dire tout ça, mais je trouve que ça dérape.

Contournement de la censure dailymotion youtube



Voici une petite astuce pour héberger et partager vos vidéos sur internet :

Comment créer un compte RuTube et “uploader” sa première vidéo.

1 - Créer un compte

> Cliquer sur Регистрация (= s’inscrire) en haut à droite.
> Remplir le formulaire d’inscription (Ник = pseudo, E-mail = …, Пароль = mot de passe, Иеще раз = confirmation du mot de passe, Код с картинки = captcha de protection à recopier).
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> Cliquer sur le bouton дa, le compte est créé et on est automatiquement connecté.

2 - Accéder à son compte

>Une fois connecté, il faut cliquer sur son pseudo qui se trouve en haut à droite pour accéder à son compte.

3 - Uploader une vidéo

Un fois que l’on est dans son compte…

> Cliquer sur + Залить видео (= publier des vidéos), bouton vert tout en haut au milieu.
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. Категория (= catégorie), il faut en choisir une autre que celle proposée par défaut (prenez la première qui vous tombe sous la souris).
. Тэги (= tags).
. Комментарии (= commentaires), préciser qui peut laisser des commentaires (Все = tous, Только мои друзья = seuls mes amis, Никто = aucun).
. Скрывать не авторские комментарии (= les auteurs ne cachent pas les commentaires)
. Категория “18+” (= Les “18 +”), à cocher si vidéo de cul, violente ou cruelle.
. Показывать на сайте, участвовать в рейтинге (= voir sur le site, participer à la notation)

> Cliquer sur le bouton, l’upload commence et une fois qu’il est terminé, on revient automatiquement dans son compte. Et là, Ô miracle, une vidéo ultra subversive attend son buzz.

(Attendre 5 minutes avant la fin de l'activation de la vidéo)

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> Reprendre la phase 3 décrite avant pour uploader de nouveau.

Astuce

Aidez-vous du traducteur Google pour vous en sortir une fois votre compte RuTube créé.


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Source newsoftomorrow.org

J'ai rajouté un ou 2 liens pour vous aider, voici la première vidéo que j'ai posté, j'ai récupérer les informations ici : http://www.dailymotion.com/user/wearechangeparis/video/x8xm8v_pujadas-face-a-we-are-change-paris_news , il m'a fallu 5 minutes, avec l'entrainement et les cookies y en aura plus que pour quelques secondes bientôt, et j'ai sauvegardé une vidéo qui risque de disparaitre du net en France !

Easy :p

mercredi 13 mai 2009

Overdose d'Hadopi



Invité ce mercredi matin de l’émission Ligne J@une produite par Arrêt sur Images, le député UMP Lionel Tardy a jugé que l’envoi par le cabinet de Christine Albanel d’un e-mail à la direction TF1 pour provoquer le licenciement de l’un de ses employés anti-hadopi montrait une "collusion qui est très très gênante" entre la chaîne et le gouvernement. "Si je suis à la place de Christine Albanel, je démissionne", finit-il par lâcher.

Au moment où était tournée l’émission, les invités ne savaient probablement pas encore que le contenu du message envoyé par le cabinet avait été révélé par le Canard Enchaîné. "Jean-Michel, vous avez des salariés qui, manifestement, aiment tirer contre leur camp", avait écrit le directeur adjoint du cabinet de Christine Albanel.

Le ton du message laisse peu de doutes sur les intentions réelles du haut fonctionnaire, d’autant que comme le précise dans l’émission Claude Soula, journaliste du Nouvel Observateur, le mail a été envoyé à Jean-Michel Counillon, "directeur du lobby de TF1".

"C’est l’homme qui est toujours à l’Assemblée Nationale, précise Soula avec les approbations de Lionel Tardy, qui est avec les députés. C’est l’homme qui fait voter les lois de TF1, c’est l’homme qui explique au ministère de la Culture ce que veut TF1 et en général le ministère de la Culture finit par appuyer ce que veut TF1, et les députés, qu’ils soient de droite ou de gauche, finissent par voter la loi".

Une collusion d’autant plus dérangeante qu’il y a peu, le patron de TF1 International a retrouvé chez lui le corps d’un homme, semble-t-il mort par crise cardiaque d’un cocktail cocaïne-GHB après l’organisation d’une "partie fine". L’homme en question ? Le chef du bureau de cabinet de Christine Albanel. Ce qui ressemblait au départ à une simple affaire privée prend aujourd’hui un tour un peu différent.

Source

jeudi 7 mai 2009

Amendement Bono

La fin d'Hadopi?



Les eurodéputés valident l'amendement 138/46 dit "Bono" contre la riposte graduée de la loi Création et Internet du gouvernement français.

C'est un nouveau camouflet que vient de subir le gouvernement français face à la loi "Création et Internet" (également baptisée Hadopi du nom de la Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur l’Internet qu'elle vise à instaure). Ce mercredi 6 mai, le Parlement européen vient d'adopter en séance plénière, par 407 voix contre 57 et 171 abstentions, l'amendement 138/46.

Cet amendement, dit "Bono" du nom de son auteur Guy Bono, énonce notamment que "aucune restriction ne peut être imposée aux droits et libertés fondamentaux des utilisateurs finaux sans décision préalable des autorités judiciaires". Autrement dit, ce texte remet en cause le principe de riposte graduée inclus dans l'Hadopi qui vise, après deux avertissements, à couper l'accès Internet de l'utilisateur accusé de téléchargement illégal. Ce qui rendrait la loi française obsolète face au droit européen.

Les eurodéputés ont donc rejeté le compromis du volet Internet de la nouvelle directive Paquet Télécom. Compromis proposé par Catherine Trautmann sous la pression du Conseil de l'Union européenne (qui réunit les ministres des Etats membres). Après adoption en septembre 2008 au Parlement européen, puis suppresion en Conseil de l'UE, l'amendement Bono avait été représenté (et revoté) par les eurodéputés dans le cadre de la commission de l'Industrie, du Transport et de l'Énergie (ITRE) début avril. Adoption qui restait à confirmer en séance plénière. Selon Ecran.fr, l'inversion de l'ordre de vote décidé le week-end dernier risquait tout simplement de faire sauter l'amendement 138. Mais, selon PC Inpact, les Verts ont obtenu que l'amendement soit de nouveau présenté avant le texte de compromis proposé par Catherine Trautmann. Texte qui, selon le collectif La Quadrature du Net, affaiblissait la portée de l'amendement Bono.

Ce nouvel épisode ne clos pas les débats et l'affaire s'apparente de plus en plus à une histoire sans fin. Le Paquet Télécom se dirige vers une troisième lecture en conciliation. "On rempile pour 3 ou 6 mois de Paquet télécom", déclare Jérémie Zimmermann, cofondateur de la Quadrature , à PC Inpact. Ce qui devrait laisser au gouvernement français le temps de faire voter la loi Hadopi en dépit des risques d'incompatibilité avec le droit européen qui se profilent.

C'est un "jour historique pour la démocratie européenne", estime Guy Bono. Dans son communiqué, l'eurodéputé d'Arles estime que "c'est une nouvelle claque pour Sarkozy et le gouvernement français! Le Parlement a dit non à Sarkozy autant sur le fond que sur la forme! Les eurodéputés ont dit non à la riposte graduée et non aux pressions inadmissibles exercées par la France sur le premier organe démocratique du continent européen!".

http://leweb2zero.tv/video/secretariatsinse_154a0210cd82623
http://www.silicon.fr/fr/news/2009/05/06/loi_hadopi_l_europe_enfonce_le_clou_de_l_amendement_bono

Le soleil vu par Soho



Magnifique vision en accéléré du soleil, vu par le satellite SOHO.

Je pense même qu'a la fin de cette vidéo, centrée sur la période 2000 / 2001 il me semble, ont voit une ou 2 éruption dirigée vers la terre causer des perturbation magnétiques sur la bande vidéo et une explosion finale tout à fait spectaculaire.

Actuellement, le soleil est dans une phase extrêmement calme, et devrai normalement remonter en activité progressivement, mais le soleil à du retard sur son cycle de 11 ans. Les recherches actuelles ne savent pas prédire avec exactitude la reprise d'activité du soleil, ni l'éventuelle accélération et renforcement du phénomène, ou à contrario, une baisse d'activité temporaire ... A suivre

Plus d'images sur le blog blog.syti.net avec les dernières images de SOHO.

lundi 4 mai 2009

Dieudonné M'bala M'bala



Partie 2

Partie 3

Film réalisé par des techniciens anonymes, retraçant tout le parcours de Dieudonné, depuis son enfance, jusqu'au sketch chez Fogiel, ainsi que l'évolution jusqu'à fin 2007.

samedi 2 mai 2009

Grand œuvre alchimique





Partie 2

Partie 3

Merci à Jsf de http://www.newsoftomorrow.org/ pour son article !

Eugénismus porcinus



LaRouche : Grippe porcine et dépopulation
29 avril 2009 - 19:13

Merci à nouveau à Monsieur Bricmon de citer Russell dans l'article précédent, voici un article concernant la grippe porcine et l’eugénisme, avec justement certaines informations concernant Bertrand Russell :

Lors de la conférence internet de Lyndon LaRouche hier, plusieurs questions lui ont été posées sur la pandémie de "grippe porcine" :

« Nous avons été attentifs à vos mises en garde contre les politiques de dépopulation et l’effondrement des niveaux de vie qui créent le potentiel d’une pandémie. Est-ce ce phénomène que nous voyons à l’œuvre avec cette grippe porcine, ou seulement une tentative pour détourner l’attention ? »

LaRouche :

« Il y a encore beaucoup d’incertitudes sur cette pandémie, mais il y a des questions essentielles auxquelles nous devons répondre, sans avoir toutefois de réponses définitives.

La politique de la monarchie britannique, et du prince Philip en particulier, [*] est de réduire la population mondiale à moins de 2 milliards d’individus : c’est la politique poursuivie au travers du World Wildlife Fund (WWF) et c’est le but des politiques écologistes. Comment atteindre cet objectif rapidement ? Par des famines et des épidémies, rendues possibles par l’absence de systèmes sanitaires.

Toutes les préconditions physico-économiques pour ce type de pandémie mondiale sont réunies. C’est à cause des politiques économiques que les Etats-Unis défendent encore aujourd’hui. Le gouvernement Obama a une part de responsabilité dans ce qui arrive car il n’a pas rejeté ces politiques !

Regardez les conditions de vie au Mexique : elles résultent des politiques imposées par les Etats-Unis et la Grande-Bretagne au Président Lopez-Portillo en 1982. Voilà comment ont été créées les conditions d’un génocide. Et c’est encore pire aujourd’hui, notamment avec l’explosion de la drogue. L’effet de ces mauvaises conditions économiques engendrées par les politiques actuelles, crée le potentiel d’une pandémie mondiale. On ne peut donc prendre la situation à la légère. Il est important de reconnaître que tous les ingrédients d’une pandémie mondiale sont réunis. Toutefois je n’affirme pas qu’il en sera ainsi. Par contre le potentiel est là. Nous devons donc agir pour empêcher que ce virus engendre une pandémie mondiale. Faisons l’hypothèse du pire et espérons que cela se passe bien. Mais il ne suffit pas d’espérer, il faut œuvrer pour cela.

Il y a un autre aspect que certaines personnes soulèveront mais pour lequel, présentement, on n’a aucune preuve. Par ma connaissance de certaines factions des gouvernements britannique et américain, je sais que des personnes haut placées voudraient aller dans le sens du prince Philip, comme ce qu’ils ont fait en synthétisant le LSD. Ils ont aussi utilisé des moyens chimiques, physiques et biologiques pour synthétiser des maladies virales et autres, ou des combinaisons de maladies qui interagiraient en vue de réduire la population mondiale. C’est exactement cette politique de massacre à grande échelle prescrite par Bertrand Russell et le prince Philip avec son WWF. Ils ont clairement l’intention d’atteindre cet objectif. Maintenant, je ne sais pas si cette grippe porcine n’est qu’un sous-produit de leurs politiques économiques et sociales abjectes, ou s’ils ont œuvré directement pour qu’elle arrive. Mais je vais partir du principe que c’est une politique délibérée, car je connais leur intention et la pandémie est bel et bien là. Je prends la défense de la population mondiale en supposant que c’est un acte délibéré, car même si je n’en ai pas la preuve, connaissant leur intention, je peux dire que c’est bien leur genre. Ces gens-là cherchent à réduire la population mondiale avec les politiques énoncées par Al Gore, le prince Philip et la monarchie britannique. Ils veulent provoquer un génocide et ont à leur disposition les moyens scientifiques pour le faire.

Nous sommes en guerre contre eux, et comme je sais qu’ils sont déterminés dans leur objectif, je me dois de les dénoncer. Comme dans une guerre classique, ils utilisent leurs « armes secrètes ». Et dans une guerre, si vous avez certain type d’armes vous permettant d’atteindre votre objectif, et que vous êtes suffisamment maléfique et avide, vous finissez par y recourir. C’est ainsi que nous devons voir cette grippe porcine. Il ne faut pas paniquer. Faites tout ce que vous pouvez pour l’arrêter et le plus vite possible. Mais en même temps, gardez l’esprit ouvert car il pourrait bien y avoir quelque chose derrière tout ça.

Ce peut être une maladie synthétique ou une combinaison de plusieurs maladies, taillée sur mesure pour utiliser une hypersensibilité identifiée chez une population particulière. Mais ce pourrait aussi être plus général. La simple menace d’une grippe porcine est telle que nous devons nous mobiliser en anticipant le pire. Le danger d’une pandémie mondiale est réel et nous devons prendre toutes les mesures possibles pour protéger la population. Il ne faut pas sous-estimer le risque. Si cette pandémie reste limitée, tant mieux, mais vous ne voudriez pas vous retrouver responsable de ses conséquences si elle devenait mondiale. Mobilisons-nous ! Et soyons rationnels : faisons l’hypothèse du pire et combattons-la. Quoiqu’il en soit, nous devrions avoir les moyens à disposition pour lutter contre ce type de menace. »

http://www.solidariteetprogres.org/


Ze mag, spécial débat sur le thème Eugénisme, l'enfant parfait.



L'eugénisme moderne expliqué par Jacques Testart, scientifique spécialisé dans le domaine de la procréation.