mercredi 31 décembre 2008

Bonne année 2009 :-)



L’ARGENT

Il peut acheter une maison,

Mais pas un foyer.

Il peut acheter un lit,

Mais pas le sommeil.

Il peut acheter une horloge,

Mais pas le temps.

Il peut acheter un livre,

Mais pas la connaissance.

Il peut acheter une position,

Mais pas le respect.

Il peut payer le médecin,

Mais pas la santé.

Il peut acheter du sang,

Mais pas la vie.

Il peut acheter du sexe,

Mais pas de l’amour.

Bonne Année 2009 !

Au bureau



Merci fleoo pour la video !

dimanche 28 décembre 2008

Terre en expansion





Terre en expansion 2/3

Terre en expansion 3/3

Musique Spatiale

étoile Altair

Son provenant d'une étoile (HD181420) prise par le satellite français CoRot

A nouveau ici pour une autre étoile (HD49933)

courbe de fréquence électromagnétique

amas globulaire

Son provenant d'un amas globulaire :



Voici pour notre Soleil



Pour Jupiter


Photo de cosmobranche - Saturne

Enregistrement de Saturne 1 (crépitements) (lien 1 java et 2 wav)

Enregistrement Saturne 2 (lien 1 java et 2 wav)

Enregistrement Saturne 3 (lien 1 java et 2 wav)

Enregistrement Rotation de Saturne (lien 1 java et 2 wav)

Ces enregistrements électromagnétiques re-échantillonnée sur une fréquence d'écoute audibles sont de toute beauté, parfois elle font penser à des instruments de musique, un son de cloche, des crépitements, des paroles inversée dans une langue inconnue...? L'imagination peut aller loin ...! En tout cas parfois quand on écoute notre nature, on croirait entendre nos étoiles... :-)

Si dessous un enregistrement qui est une animation avec un son "humain" mais qui est tout de même intéressante à voir et à écouter :



Edit : La terre en direct live !!! En streaming depuis un satellite de la Nasa.



Merci Sylvain pour la colaboration sur les recherches =)

Réflexion - Eggregore







Energie libre et Kuhai Minato



http://www.dailymotion.com/video/x7q6ij_el-antigravit-25_tech

http://www.dailymotion.com/video/x7q674_el-antigravit-35_tech

http://www.dailymotion.com/video/x7q5mj_el-antigravit-45_tech

http://www.dailymotion.com/video/x7q5mj_el-antigravit-45_tech

Merci pour cette vidéo Mansan !

Le moteur de Kuhai Minato

mardi 23 décembre 2008

Création - Voir l'unique

dimanche 21 décembre 2008

Message - Severine Susuki à l'ONU

Réflexion - Nous sommes vos enfants

Sur indymedia.grèce est parue une lettre des amis d’Alexandros (le jeune qui a été tué par la police). Elle a été traduite. Je trouve un certain écho avec ce que des jeunes d’ici peuvent ressentir :

Nous voulons un monde meilleur.
Aidez-nous.
Nous ne sommes pas des terroristes, des « cagoulés », des «connus-inconnus» .

NOUS SOMMES VOS ENFANTS.

Ces « connus-inconnus » …
Nous avons des rêves. Ne tuez pas nos rêves.
Nous avons de l’élan. Ne stoppez pas notre élan.

SOUVENEZ-VOUS.

Un temps, vous étiez jeunes aussi.
Maintenant vous cherchez de l’argent, vous n’êtes intéressés qu’à la vitrine, vous avez pris du poids, vous avez perdu vos cheveux.

ET VOUS AVEZ OUBLIE.

Nous attendions votre soutien.
Nous attendions votre attention, nous pensions que nous allions être fièrs de vous - pour une fois.

EN VAIN.

Vous vivez des vies fausses, la tête penchée, vous êtes alliénés, rendus au système…
Vous avez jeté l’éponge et vous attendez le jour de votre mort.
Vous n’ avez plus d’imagination, vous ne tombez plus amoureux, vous ne créez pas.
Vous vendez seulement et vous achetez.
De la marchandise partout.

L’AMOUR ET LA VERITE ? NULLE PART.

Où sont les parents ?
Où sont les artistes ?
Pourquoi ne sortent-ils pas dans les rues ?

(Source = Neotrouve.com )

Le Temple d'Hermès Trismégiste



Personnalité - Sarkozy ou Napoléon?



Que peut-il ? Tout. Qu'a-t-il fait ? Rien.

Avec cette pleine puissance, en huit mois un homme de génie eût changé la face de la France, de l'Europe peut-être. Seulement voilà, il a pris la France et n'en sait rien faire.

Dieu sait pourtant que le Président se démène: il fait rage, il touche à tout, il court après les projets; ne pouvant créer, il décrète ; il cherche à donner le change sur sa nullité; c'est le mouvement perpétuel; mais, hélas ! cette roue tourne à vide.

L'homme qui, après sa prise du pouvoir a épousé une princesse étrangère est un carriériste avantageux. Il aime la gloriole, les paillettes, les grands mots, ce qui sonne, ce qui brille, toutes les verroteries du pouvoir. Il a pour lui l'argent, l'agio, la banque, la Bourse, le coffre-fort.

Il a des caprices, il faut qu'il les satisfasse. Quand on mesure l'homme et qu'on le trouve si petit et qu'ensuite on mesure le succès et qu'on le trouve énorme, il est impossible que l'esprit n'éprouve pas quelque surprise. On y ajoutera le cynisme car, la France, il la foule aux pieds, lui rit au nez, la brave, la nie, l'insulte et la bafoue !

Triste spectacle que celui du galop, à travers l'absurde, d'un homme médiocre échappé".

Victor HUGO, dans "Napoléon, le petit"

(un pamphlet écrit depuis son exil en Belgique, réédité chez Actes Sud)

Merci Sylvain pour le texte !

samedi 20 décembre 2008

Actualité - Action pour le logement des sans abris

16 décembre 2008
L'appel des religions et de deux obédiences maçonniques en faveur des sans-abris.

AFP - 16/12/08 - 17h22

Les représentants des principales institutions religieuses et humanistes ont lancé mardi à Paris un appel à "tous ceux qui sont propriétaires d'un logement vacant" susceptible d'être loué en priorité aux plus déshérités.
A l'initiative du père Bernard Devert, président d'Habitat et Humanisme, les représentants des principales religions et des obédiences maçonniques ont signé un texte qui affirme notamment: "N'attendons pas la résolution de la pénurie de logements d'un miracle institutionnel qui nous dispenserait de la contribution que nous avons tous à apporter".
"Nous en appelons à tous ceux et toutes celles qui sont propriétaires d'un logement vacant. Tous les biens susceptibles d'être loués doivent l'être sans délai", ajoute le texte.
Ont signé cet appel, l'Eglise catholique, la Fédération protestante de France, le Conseil français du culte musulman (CFCM), le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), le Consistoire central de France, l'Eparchie de Sainte Croix de Paris de Paris des Arméniens de France, ainsi que Joseph Sitruk, grand rabbin de France, Dalil Boubakeur, recteur de la Grande Mosquée, Alain Graesel, grand maître de la Grande Loge de France et François Stifani, grand maitre de la Grande Loge Nationale de France.

Source : http://entrelescolonnes.canalblog.com/archives/2008/12/16/11773568.html

mercredi 17 décembre 2008

Splendor Solis



Cliquez sur les images pour visionner en plein écran :










Splendor Solis ? Késako?

Splendor Solis est un des plus célèbre et des plus beau livre alchimique.
Cette version est préservée au Musée de la Prusse à Berlin et date de 1532.
Le travail est composé de 22 images. La symbolique du livre est établie autour du processus de mort, et de renaissance à la vie du Roi.
La symbolique visible dans les flacons évoque la transformation, par la symbolique de l'oiseau et de l'animal en une Reine et un Roi naissant.

Voici le nom des différentes pages dans l'ordre :

1 : Le bras des Arts
2 : La philosophie du flacon
3 : Le chevalier et la fontaine double
4 : La rencontre du Roi Soleil et de la Reine Lune

Les 7 paraboles :

5 : Excavation de la colline par les mineurs
6 : Les philosophes sous l'arbre
7 : La noyade du Roi
8 : La résurrection depuis le marais
9 : L'hermaphrodite et l'œuf
10: Sectionnement de la tête du roi
11: La cuisson du corps dans le bain

Les 7 flacons :

12: Saturne - Dragon et enfant
13: Jupiter - Les trois oiseaux
14: Mars - L'oiseau a trois têtes
15: Le Soleil - Le Dragon a trois têtes
16: Venus - La queue du Paon
17: Mercure - La Reine blanche
18: La lune - Le Roi Rouge

19: Le soleil noir
20: Les enfants jouent
21: La femme lave les habits
22: Le soleil illumine la cité

Message intemporel - L'amour divin

Réflexion - Le verbe


Fichier hébergé par Archive-Host.com

Divin est le verbe cela est vrai, le verbe est à
l'origine de l'intelligence de la créativité, de l'amour
mais il est aussi, la cause de destructions, de
massacres, de tueries, de tortures morales et physiques.

C'est avec le verbe que l'homme devient un dieu ;
aussi si tu es conscient de l'arme que tu détiens,
tu comprendras que je te dise :


Ne parle pas pour ne rien dire, pour médire, pour
colporter de fausses vérités, celles que l'on dit être
de "sources" sûres.

Ces paroles qui ne sont pas toujours dites dans le
but de nuire, hélas ! Très souvent portent atteinte
à l'intégrité, à la liberté de l'être.

Un sage a dit : " La langue est plus dure que les dents".
Celles-ci peuvent mordre, mais la langue peut tuer.

Utilise ce qui te rend divin uniquement pour créer,
conforter, aider, aimer, réconforter, communiquer,
voilà à quoi ton verbe doit être destiné.

Il te faudra tout faire pour ne pas blesser verbalement
car il est toujours très difficile de rattraper une parole
lancée à la légère ou de revenir sur quelques faits
ou paroles que l'on a dites et que l'on aurait dû taire.

L'homme avec le verbe, s'est élevé au dessus de l'animal,
mais il a su par ses paroles méchantes, coléreuses,
blessantes par de faux témoignages, amener son prochain
en prison, à l'échafaud ou au suicide.

Par ses discours chauvins, racistes et xénophobes,
générateurs de haine, il a su faire naître des guerres
et des génocides.

De ce fait, l'Homme s'est rabaissé au dessous des
animaux car ces derniers ne tuent que pour vivre.

Avec le verbe, si tu le désires, tu atteindras la lumière
de l'esprit, l'intelligence et la lumière du cœur : L'amour

Ne gaspille pas cet héritage divin par des propos non réfléchis.

Nature - Feuilles vertes








Vouloir refaire le monde, petit texte à méditer ...



Assis confortablement à la table du jardin, verre de vin à la main et en agréable compagnie, nous nous plaisons tous à "refaire le monde".

Nous aimons exposer les absurdités de la société, ses problèmes et ses enjeux, et nous prenons un malin plaisir à en repenser les fondations et à restructurer tout ce qui "ne va pas".
Ce faisant, lorsque nous nous penchons sur les raisons d'être d'un tel état de choses, la majorité d'entre nous en arrive rapidement à la conclusion que nos sommes victimes de nos dirigeants car ceux-ci nous manipulent, nous contrôlent via des techniques dignes de Machiavel, nous conditionnent par l'entremise des médias et ne font de nous qu'une main-d'œuvre bon marché sur leur échiquier économique.
Nous ne nous gênons pas non plus pour clamer haut et fort que les religions de ce monde nous ont manipulés depuis la nuit des temps et que le système monétaire nous a corrompu l'esprit et a fait de nous d'avares matérialistes.
Certes, tout cela est vrai et lorsque nous en prenons réellement conscience, notre réaction est unanime et sans équivoque : nous voulons refaire le monde.

Puisqu'il est malade, nous voulons le guérir en éradiquant pauvreté et maladie, et puisqu'il est en désordre, nous désirons sincèrement le replacer adéquatement en mettant fin aux guerres et à l'avarice.
C'est ainsi que, confortablement assis dans le jardin de notre résidence secondaire, nous remettons tout le système social en cause : chaque parcelle de sa constitution et chaque principe de sa fondation sont, selon nous, à revoir entièrement. Et si nous étions les élus et acteurs de ce système, s'ensuivraient discussions, réflexions, comités de sélection, votes et nouvelles lois, politiques et règlements plus "justes".

Mais à bien y penser, puisque la dynamique de base demeurerait la même, il est fort à parier que rien ne changerait réellement.
Il est simple de refaire ainsi le monde, dans le confort même de celui-ci, dénonçant hypocritement son caractère matérialiste alors que nous sommes entourés de biens superflus, nous indignant devant sa mentalité perverse alors que nous jugeons sévèrement chacun de ses participants.

Mais nous ne nous demandons pratiquement jamais s'il ne serait pas possible qu'une société, quelle qu'elle soit, ne soit pas réellement à l'image de ses constituants de base, c'est-à-dire des êtres qui la forment.
Il nous arrive rarement de nous rendre compte que la société dans laquelle nous vivons n'est qu'un reflet, un miroir, et que l'image qu'elle nous renvoie n'est en réalité que notre propre image.
En effet, comment une société, aussi malsaine et pernicieuse soit-elle, pourrait-elle être ainsi si chacun de nous, intérieurement (et habituellement sans se l'avouer) n'étions pas ainsi ?
Et si toutes les faiblesses et perversions de la société actuelle n'étaient autres que le reflet, à plus grande échelle, de nos propres états d'âme, de notre propre façon d'être, de penser et d'agir ?

Il n'est certes pas agréable de nous imaginer aussi "dysfonctionnel" que le système égocentrique qui nous entoure, mais il faut nous rendre à l'évidence : si nous y vivons, si nous y participons, c'est que nous l'acceptons, d'une façon ou d'une autre, et l'alimentons de surcroît.
Sans quoi, nous n'en ferions pas (ou plus) partie.

Il va donc sans dire que chacun de nous qui accepte de vivre selon les normes établies, qui accepte que "ce soit ainsi", continue alors, jour après jour, à prêter serment en quelque sorte, à signer ce contrat d' "union légale" avec ce système et accepte ainsi la sentence inscrite au bas de celui-ci en caractères minuscules (sentence que nous ne connaissons d'ailleurs que rarement puisque nous prenons rarement le temps de la lire et d'y réfléchir).

La société est donc ainsi faite. Qu'on le veuille ou non, elle est constituée d'êtres endormis et inconscients : d'êtres indifférents à la sentence commune.
Elle se compose d'esclaves qui se croient souverains tant et aussi longtemps qu'ils ne perdent pas trop au jeu qu'on leur impose.
En somme, elle est faite d'êtres faibles qui refusent de prendre leurs responsabilités et préfèrent qu'on les dirige.
Puisque nous refusons obstinément de prendre notre pouvoir personnel en main et d'ainsi diriger nos vies comme nous l'entendons, sans "pouvoir officiel" pour nous mener vers le "droit chemin", nous n'utilisons ni ne cultivons notre habileté à penser par nous-mêmes, mais préférons grandement accepter nonchalamment les consensus et les prêts-à-penser dans le confort et l'indifférence.

Et voilà que lorsque nous nous affairons à "changer le monde", c'est dans le confort que celui-ci nous apporte et c'est surtout à défaut d'entreprendre la difficile tâche de se remettre soi-même en cause.
En effet, il est beaucoup plus facile de pointer du doigt les rouages inadéquats du système en place que de reconnaître les faiblesses en soi. Et le tout selon la fausse rhétorique que si le système change notre vie changera.
Mais notre façon d'être, dans l'état actuel des choses, continuera d'exiger un système qui nous prenne en charge, prenne soin de nous et aille même jusqu'à penser pour nous.
Et c'est ainsi qu'à coups de réunions, de décrets de lois et de signatures de contrats qui détermineront qui s'occupera de quoi que rien n'aura réellement changé, puisque nous désirons toujours que quelqu'un d'autre prenne la responsabilité à notre place.

Si le système est ainsi fait, c'est que nous sommes ainsi, tout simplement.

Vers un changement de soi ?

Il faut donc se rendre à l'évidence : ce que nous devons changer, c'est nous-mêmes, car c'est la seule chose que nous pouvons changer.
C'est seulement en refusant notre dynamique interne que nous pouvons y parvenir car c'est uniquement en réalisant que le système présent utilise nos faiblesses pour réussir à être ce qu'il est, et qu'il est indispensable de nous défaire de celles-ci plutôt que du système lui-même.

Mais ce n'est pas chose aisée de laisser tomber ce que nous avons trop longtemps considéré comme "soi-même", notre personnalité, notre "identité", c'est-à-dire nos habitudes physiques, mentales et émotionnelles, notre confort et nos conceptions habituelles du monde.
Tout cela n'est pas une mince tâche : tenter de modifier ne serait-ce que la plus petite de nos habitudes, de façon substantielle, semble parfois relever de l'impossible et s'avère normalement d'une difficulté déconcertante.

Mais comme si cela n'était pas déjà assez ardu, s'ajoute à cette difficulté initiale un autre élément de taille, celui de connaître réellement ce qu'est soi-même.
Cela peut sembler sorti tout droit d'un biscuit de fortune existentialiste, mais nous définissons notre "soi-même" trop souvent et à tort comme étant l'ensemble de nos habitudes.
Ne serions-nous en réalité que cela ?
Et si nous modifiions fondamentalement une ou plusieurs de nos habitudes (car nous le pouvons), cesserions-nous d'être nous-mêmes ?
Lorsque nous fermons les yeux et tentons de trouver cet espace intérieur, savons-nous réellement ce que nous sommes ?
Nous arrive-t-il de nous rendre compte que cet espace intérieur est indépendant de nos habitudes ?

Le message des enseignements traditionnels est majoritairement axé sur la connaissance de soi. Si nous ne nous connaissons pas réellement, ou pire, croyons à tort nous connaître en fonction de nos habitudes, comment pouvons-nous réellement espérer changer la plus petite parcelle de ce monde en ne sachant même pas nous définir nous-mêmes et encore moins changer ce nous-mêmes d'un iota ?

Et c'est ainsi que, verre de vin à la main à notre résidence secondaire et en agréable compagnie, nous nous vautrons dans cette gymnastique intellectuelle qui vise à exprimer notre ressentiment face à ce qui nous entoure sans même nous rendre compte que chacun de nous crée cette société dans laquelle nous vivons, et ce, au même titre que chaque arbre participe à la création de la forêt dont il fait partie.

Nous disons souvent que c'est "l'arbre qui cache la forêt", mais dans ce cas-ci, c'est la forêt qui devient un prétexte pour l'arbre.


- Webmestre Zone-7

mardi 16 décembre 2008

Tempus Fugit





Tiré d'une histoire vrai, ce court métrage (le premier court métrage d'une amie) daté d'il y a 10 ans, est une chef d'œuvre de simplicité et d'authenticité.



Merci à toi Géraldine pour l'autorisation de diffusion, et encore bravo! J'espère découvrir tes autres productions car si ce court est ton premier, j'imagine la qualité des suivants !! BRAVO !

mercredi 10 décembre 2008

Akinator




Merci Sylvain pour le lien !

Nouveau talents







Martine Aubry et Benoit Hamon dans ! TADAaadadaaa ! Partie Socialiste, New Generation !



La grande classe ...

mardi 9 décembre 2008